Vente Château Laval (53000)
- château
-
- LAVAL (53000)
- 1 790 000 €
- Honoraires à la charge du vendeur
- Réf. : 4176
- Surface : 960 m²
- Surface du terrain : 18.41 ha
- pièces : 34
- chambres : 20
- Piscine : Oui
Ref.4176 : MAGNIFIQUE CHÂTEAU CLASSIQUE ISMH DES XVe, XVIe ET XVIIIe SIECLES EN MAYENNE
Dans la province historique du Bas-Maine, non loin du Haut Anjou, ce grand et fastueux château est édifié dans un joli endroit de nature. A 3 km d’un petit bourg, la campagne environnante est bercée par les lacets de la Vaiges, rivière affluente de la Sarthe. Le château est aisément desservi par les grands axes de communication. Les villes de Laval (gare TGV à 1h15 de Paris), Château-Gontier et Sablé-sur-Sarthe (gare TGV à 1h20 de Paris) sont toutes trois à 27 km en voiture.
Le château est un témoin de l’art de bâtir en Sud Mayenne, en lien avec les ressources géologiques du terroir. Il a tout d’une belle demeure de plaisance, avec ses lignes classiques, et l’agencement des deux ailes de communs de part et d’autre.
Les façades ont une tonalité uniforme et une teinte dorée conférée par les enduits qui recouvrent l’appareillage en pierre de pays. Les chainages harpés, les encadrements des baies, les corniches et les lucarnes sont en pierre de tuffeau, et rappellent la proximité de l’Anjou.
Deux colonnes doriques soutiennent un balcon ainsi que deux statues de chiens assis, qui montent la garde de part et d’autre de la porte fenêtre du XVIIIe siècle.
On accède par cette porte-fenêtre dans la demeure qui comprend :
Au rez-de-chaussée : un accueillant vestibule de 42 m², boiseries de 1890, grand et petit salons de 66 et 39 m², parquet à bâton rompu, cheminées en marbre, boiseries de 1779, salle à manger de 68 m², parquet dalles Versailles, boiseries de style Louis XVI de 1880, cheminée, fumoir de 18 m² avec cheminée en marbre de Grez-en-Bouère, bureau du maître utilisé en salle de chasse, cuisine en double exposition de 55 m², avec cheminée en pierre, cellier avec ancienne salle-à-manger du personnel en entresol au-dessus, office avec évier, escalier à vis dans la tour hors d’œuvre, laverie, débotté, vaisselier, salle de douches et 2 wc.
A l’étage : 9 chambres dont 8 avec cheminées, une importante bibliothèque avec une élégante cheminée, 2 salles de douches avec wc, une salle de bains et 2 wc.
Au-dessus : 12 chambres (anciennes, essentiellement à destination du personnel), un home cinéma, une salle de douches avec wc et un grenier.
Cave en dessous, d’une pièce, avec chaufferie.
Surface habitable totale d’environ 960m².
Les dépendances comprennent :
Deux grands bâtiments de communs en L, du XVIe siècle, en vis-à-vis et en symétrie par rapport au château. Ils ont été remaniés en 1777. Celui de droite comprends des écuries réaménagées au XIXe siècle, avec 4 stalles, 3 boxes, leurs auges en marbre, bas flancs en laiton et paillasson, sol de brique en épi, écoulement, chambres de lads et sellerie. L’autre bâtiment de commun comporte toutes les caractéristiques d’une habitation domestique de ce temps : grand grenier avec très belle charpente ancienne, cuisine à haute cheminée, carreaux de terre cuite, cloisons en bousillage, cave à pressoir sur socle de bois, fruitier, orangerie à belle charpente ; toitures récentes.
Grange du XVIIe, charpente d’origine, toiture en ardoises avec houteaux et lucarnes d’origine, sol pavé.
Colombier coiffé d’une toiture à l’impériale, surmontée d’un lanterneau. Ses dimensions importantes, l’épaisseur des murs et la proximité avec les douves montrent qu’il s’agit d’une ancienne tour de défense médiévale ;
Chapelle à hauts pignons, reconstruite au XVe siècle sur des bases du XIIIe, comprenant une fenêtre d’axe à remplage gothique ;
Crèche ;
Logement de jardinier, confortable, restauré, occupé par le couple de gardien ;
Four à pain.
Un grand jardin, légèrement surélevé, agrémente la façade Sud. Il comporte encore des éléments du jardin à la française, qui date du XVIIIe siècle : potager, vergers, roseraie. Il est orné de statues, de Médicis.
Ses lignes géométriques répondent au classicisme de l’architecture des bâtiments. L’art topiaire s’y déploie à merveille.
Au fond du jardin, quatre théâtres de verdure. Un bois adjacent, agrémenté d’allées en étoiles, suivant le plan original de 1783, complète le site.
On peut remarquer dans la cour d’honneur, une vingtaine d’orangers bigaradiers et citronniers, dont onze exceptionnels par leurs dimensions et leur âge.
Le tout d’une surface de 18 ha 41 a 46 ca.
Les informations sur les risques auxquels ce bien est exposé sont disponibles sur : www.georisques.gouv.fr
Dans la province historique du Bas-Maine, non loin du Haut Anjou, ce grand et fastueux château est édifié dans un joli endroit de nature. A 3 km d’un petit bourg, la campagne environnante est bercée par les lacets de la Vaiges, rivière affluente de la Sarthe. Le château est aisément desservi par les grands axes de communication. Les villes de Laval (gare TGV à 1h15 de Paris), Château-Gontier et Sablé-sur-Sarthe (gare TGV à 1h20 de Paris) sont toutes trois à 27 km en voiture.
Le château est un témoin de l’art de bâtir en Sud Mayenne, en lien avec les ressources géologiques du terroir. Il a tout d’une belle demeure de plaisance, avec ses lignes classiques, et l’agencement des deux ailes de communs de part et d’autre.
Les façades ont une tonalité uniforme et une teinte dorée conférée par les enduits qui recouvrent l’appareillage en pierre de pays. Les chainages harpés, les encadrements des baies, les corniches et les lucarnes sont en pierre de tuffeau, et rappellent la proximité de l’Anjou.
Deux colonnes doriques soutiennent un balcon ainsi que deux statues de chiens assis, qui montent la garde de part et d’autre de la porte fenêtre du XVIIIe siècle.
On accède par cette porte-fenêtre dans la demeure qui comprend :
Au rez-de-chaussée : un accueillant vestibule de 42 m², boiseries de 1890, grand et petit salons de 66 et 39 m², parquet à bâton rompu, cheminées en marbre, boiseries de 1779, salle à manger de 68 m², parquet dalles Versailles, boiseries de style Louis XVI de 1880, cheminée, fumoir de 18 m² avec cheminée en marbre de Grez-en-Bouère, bureau du maître utilisé en salle de chasse, cuisine en double exposition de 55 m², avec cheminée en pierre, cellier avec ancienne salle-à-manger du personnel en entresol au-dessus, office avec évier, escalier à vis dans la tour hors d’œuvre, laverie, débotté, vaisselier, salle de douches et 2 wc.
A l’étage : 9 chambres dont 8 avec cheminées, une importante bibliothèque avec une élégante cheminée, 2 salles de douches avec wc, une salle de bains et 2 wc.
Au-dessus : 12 chambres (anciennes, essentiellement à destination du personnel), un home cinéma, une salle de douches avec wc et un grenier.
Cave en dessous, d’une pièce, avec chaufferie.
Surface habitable totale d’environ 960m².
Les dépendances comprennent :
Deux grands bâtiments de communs en L, du XVIe siècle, en vis-à-vis et en symétrie par rapport au château. Ils ont été remaniés en 1777. Celui de droite comprends des écuries réaménagées au XIXe siècle, avec 4 stalles, 3 boxes, leurs auges en marbre, bas flancs en laiton et paillasson, sol de brique en épi, écoulement, chambres de lads et sellerie. L’autre bâtiment de commun comporte toutes les caractéristiques d’une habitation domestique de ce temps : grand grenier avec très belle charpente ancienne, cuisine à haute cheminée, carreaux de terre cuite, cloisons en bousillage, cave à pressoir sur socle de bois, fruitier, orangerie à belle charpente ; toitures récentes.
Grange du XVIIe, charpente d’origine, toiture en ardoises avec houteaux et lucarnes d’origine, sol pavé.
Colombier coiffé d’une toiture à l’impériale, surmontée d’un lanterneau. Ses dimensions importantes, l’épaisseur des murs et la proximité avec les douves montrent qu’il s’agit d’une ancienne tour de défense médiévale ;
Chapelle à hauts pignons, reconstruite au XVe siècle sur des bases du XIIIe, comprenant une fenêtre d’axe à remplage gothique ;
Crèche ;
Logement de jardinier, confortable, restauré, occupé par le couple de gardien ;
Four à pain.
Un grand jardin, légèrement surélevé, agrémente la façade Sud. Il comporte encore des éléments du jardin à la française, qui date du XVIIIe siècle : potager, vergers, roseraie. Il est orné de statues, de Médicis.
Ses lignes géométriques répondent au classicisme de l’architecture des bâtiments. L’art topiaire s’y déploie à merveille.
Au fond du jardin, quatre théâtres de verdure. Un bois adjacent, agrémenté d’allées en étoiles, suivant le plan original de 1783, complète le site.
On peut remarquer dans la cour d’honneur, une vingtaine d’orangers bigaradiers et citronniers, dont onze exceptionnels par leurs dimensions et leur âge.
Le tout d’une surface de 18 ha 41 a 46 ca.
Les informations sur les risques auxquels ce bien est exposé sont disponibles sur : www.georisques.gouv.fr
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